Depuis quelques temps, le mouvement « NO BRA », défendant l’idée que les soutiens-gorge ne sont pas forcément obligatoires, semble prendre de l’ampleur sur la toile. Pourtant, qui eût cru qu’arborer un t-shirt sans rien en dessous puisse être problématique ?
Il y a le regard des autres, d’une part – les jugements plus ou moins directement exprimés (souvent par d’autres femmes d’ailleurs) sur l’esthétique de notre poitrine ou les raisons supposées de notre choix, les comportements lourdauds (ou carrément inappropriés) d’hommes qui y voient une invitation…
Et puis parfois, encore plus insidieuses, il y a les critiques et les barrières que nous nous imposons à nous-mêmes.
On ne le comprend peut-être pas quand on ne le vit pas directement, mais il peut être très difficile d’assumer une poitrine plate, pas assez ronde, ou pas assez ferme, qui bouge, qui change et qui réagit – vivante et vraie en somme – face au modèle unique de seins ronds, hauts, bien fermes et bien lisses qui nous est montré en permanence dans les médias. J’en ai moi-même fait les frais, comme je vous en parlais dans cet article sur ma lingerie sans artifices.
Pourtant aujourd’hui, je ne veux plus jouer le jeu de la société lorsqu’il ne me correspond pas, et je crois que c’est assez important, aussi petit le geste soit-il.
Ma morphologie fait que je ne pourrais pas vivre à 100% sans un léger maintien, au risque de provoquer gênes et douleurs quand je dois marcher un peu vivement. Il y a la question de ma pudeur, aussi. Je porte donc des petits triangles la plupart du temps, si confortables que je pourrais presque dormir avec.
En revanche, quand j’enfile une robe légère en plein été, il m’arrive de préférer me passer de soutien-gorge, par simplicité (eh non, ce n’est pas pour récolter des 06 !).
Alors oui, ma poitrine est loin d’être parfaite, et le résultat est tout de suite moins pimpant qu’avec un balconnet rembourré. Mais pourquoi devrions-nous toujours être au top, belles et aussi attirantes que possible (selon la norme établie du moins), si nous n’en ressentons pas le besoin pour être bien ?
Que m’importe que mon buste soit parfaitement mis en valeur quand j’ai le plaisir de me sentir libre sous le tissu vaporeux de ma robe, d’être telle que je suis, sans pressions ?
Il me tient à coeur, ici comme dans la vie, de montrer que des alternatives existent, que la Beauté et la Vérité sont multiples, et que chacun devrait avoir le droit de suivre son propre chemin.
Vous adorez porter des soutiens-gorge, ou vous vous sentez bien mieux avec ? Alors jouez-en et faites-vous plaisir, je suis sûre que vous êtes magnifiques dedans ! Vous êtes extrêmement pudiques et préférez ne rien révéler de votre buste ? Aucune raison de vous forcer ! On peut être d’un bord ou de l’autre, entre les deux, ou changer un peu de temps en temps; l’important est de tendre vers ce qui nous fait le plus de bien et nous correspond le mieux.
Je parle là de bien-être, bien sûr, mais pas seulement. J’ai l’impression que c’est aussi en nous écoutant, en étant vraies, que nous pourrons faire changer les choses plus globalement. Lutter (contre les diktats et parfois contre nous-mêmes) pour assumer notre unicité et notre naturel en société, n’est-ce pas une manière d’apporter petit à petit une multitude de nuances au modèle féminin établi ?
Nous avons terriblement besoin de fraîcheur, d’authenticité et d’exemples qui changent.
Robe Vila (partenariat Monshowroom)
Et vous, que pensez-vous de cette « tendance » NO BRA ?
Vous sentez-vous libres à ce sujet ?
Merci à ma petite maman pour les photos !
75 commentaires
Bonsoir ^^
J’ai été intéressée par votre article grâce à sa Une (Félicitations, d’ailleurs :D )
Je suis une nana lambda qui a cesser de porter des soutifs depuis qq mois. Je fais un 75F naturel et je ne porte presque plus de soutifs. J’en ai deux pour les occasions obligatoires. Je marche, je cours, je travail (Merci la grosse blouse épaisse), je fais le ménage, mes courses… Bref je vais ma vie sans soutifs.
Je n’ai vu aucune différence avec le comportement masculin (les goujats restent des goujats) , on me regarde quand même et franchement… même avec mes outifs, mes seins qui pointent, ça se voit.
Ma poitrine est remontée (si, si, je le jure sur ma bonne foi!) de qq cm (3 ou 4 ) et je respire! Plus de bourrelets, plus de marques disgracieuses… et je ne prive pas de porter mes hauts fétiches :)
Mon but 1er n’étais pas de faire ma rebelle mais bien le fait que j’étais fauchée comme les blés! Je me suis retrouvée avec une nouvelle taille de bonnet…qui a encore changée trois mois après. Mes deniers devant aller impérativement ailleurs j’ai fais l’impasse sur le soutient gorge. Et j’ai continuer à le faire ;)
Je me fiche éperdument du regard des autres, mon confort d’abord. Et c’est mon mari qui m’a soumis l’idée, dans une idée de confort (et pas de tripotages intempestifs, il existe des hommes avec un cerveau à la bonne place ;) )
Merci pour votre article, il était fort intéressant. Soyez d’abord qui vous voulez être. Les autres ne sont pas dans votre vie et par conséquent n’ont pas à la juger (même si on sait tous que l’autre préfère lez poils de fesses du voisin que les siens… occupons nous chacun de notre vie avant de médire sur celle des autres)
Bonne soirée à vous ;)
Une nana qui est très contente d’avoir laissé le soutif au placard ^^
J’ai 49 ans et j’ai vu un changement d’attitudes chez les filles au cours des années 90. Jusqu’à la fac (années 93-94), il m’était très facile, l’été, de mettre une robe et une culotte et j’étais prête pour la journée. Mes copines et moi n’avons jamais eu de commentaires désobligeants. Il est vrai que je ne fais qu’un 85 B, donc je n’ai guère besoin de maintien. J’ai des photos sur lesquelles nous apparaissons avec nos petits seins pointant sous le jersey de nos tee-shirts. C’était frais, dynamique et sensuels, sans séduction agressive.
Dans les années 90, le marketing et une certaine pudeur sont passés par là : la lingerie est devenue objet de mode (elle a embelli et s’est diversifiée et tant mieux) et elle est aussi devenue diktat et objet de consommation (encore un !) Il fallait acheter des soutien-gorge, même pour des petites poitrines et montrer leurs dentelles dans le décolleté d’un chemisier et ou sous un débardeur. Sortir alors sans soutien-gorge, c’était comme si je disais aux autres : je suis torse nue sous mon tee-shirt et ma robe. Je n’ai pas eu de remarques mais petit à petit, de façon insidieuse, le port du soutien-gorge est (re)devenu obligatoire.
Il y a du sauvage en nous que le marketing, la pub et une certaine paresse d’esprit exigent d’être maîtrisé. Adieu les gestes libres, le corps débarrassé de ce qui le contient. Alors que c’est une réelle simplicité, pour une femme à petite poitrine, d’aller et venir sans soutif quand il fait chaud.
J’ai du soulagement à laver moins de lingerie, l’été. j’ai plaisir à m’habiller prestement le matin quand j’élimine la case soutien-gorge. Je suis attentive à ce que me dit ma gynéco qui grimace devant les baleines de soutien-gorge qui entraverait la circulation de la lymphe. Je suis un peu un garçon en robe et talons hauts. J’ai plaisir à mettre des robes dos nu, les jours de soleil.
Plus ça va et plus je mets des débardeurs en fine matière ou des bodys sans armature, l’hiver, pour retrouver cette simplicité de la vêture.
J’ai la chance d’avoir une poitrine qui se tient très bien, après un allaitement de 2 ans et demi. Quand je cours (je fais des semi-marathons), c’est avec les seins planqués dans une brassière maintien ++++. J’ai grand plaisir à mettre mes jolis soutifs et j’ai grande joie de sortir sans.
Merci pour votre article.
eh bin tu as raison parce que il n’y a rien de choquant et cela te va très bien ;)
moi j’envie les filles qui peuvent le faire car moi ça me fait mal.
Vive la simplicité et l’acceptation de soi ! Je ne me sens pas du tout confortable sans maintien donc sortir sans soutien-gorge ce n’est pas possible du tout. Dommage car c’est une vraie galère d’en trouver un qui soit seyant, je suis entre 2 tours de poitrine et 2 tailles de bonnets, donc c’est double essayage à chaque fois pour trouver un modèle qui me corresponde :-( A la maison, par contre si je ne fais pas d’activité remuante, je peux rester torse nu une partie de la journée, et même en débardeur ; ni mes enfants ni mon mari ne me disent de me rhabiller !
Tu as bien raison de profiter de tes jolis robes ! Je t’envie un peu, j’avoue, de te sentir à l’aise et surtout confortable car tu n’as pas à faire l’impasse sur de biens jolis modèles ;-)
Très bel article, tu t’exprimes avec beaucoup de bienveillance et je te lis toujours avec plaisir :)
Je réfléchis aussi beaucoup au port du soutien-gorge actuellement, entre impératif sociétal et bien-être personnel … Comme toi, je ne pense pas pouvoir vivre 100% sans soutien-gorge, mais j’apprécie porter des sous-vêtements bien plus « légers » et je commence à oser sortir sans de temps en temps, c’est un bon début !
Bonsoir,
J’ai 17 ans, taille du 90C et ne porte quasiment plus de soutifs depuis 4 à 5 mois, et c’est une réelle libération/révélation/amélioration au niveau de ma vie ! Tout d’abord est survenue une augmentation de ma confiance en moi suivie de près par… une augmentation mammaire ! Si si je vous assure. Vous n’avez qu’à chercher par vous même sur internet les effets d’un « bra-less » à plein temps si vous n’y croyez pas :)
Par ailleurs je respire beaucoup mieux et les… (Je m’excuse à l’avance de ces précisions) relents post-digestifs se font moins sentir également. En bref mon corps me remercie.
Pour les sportives qui seraient également intéressées : il m’arrive de faire du sport sans soutifs (footings, basketball) et cela ne me gène pas. Bien sûr la première fois on se dit : « Ah c’est horrible ça ballote de partout, ça fait mal, etc. » Et puis finalement on s’habitue et notre poitrine gagne en fermeté et nous en assurance !
Attention cependant, les changements que j’ai vu s’opérer en moi ne sont qu’un exemple des conséquences de mon choix mais j’espère qu’ils pourront faire réfléchir certaines d’entre vous !
Je fais un 85A, j’ai donc une toute petite poitrine.
Je me suis toujours sentie « obligée » de porter un soutien gorge, à l’adolescence et au début de ma vie d’adulte. C’était devenu une habitude, comme se brosser les dents… Juste parce que c’était comme ça, « ça se faisait ». Et bien sûr, difficile de trouver des bonnets A sans rembourrage.
Aujourd’hui, et depuis quelques années maintenant, je ne porte plus rien. Et serais bien incapable de porter quelque chose à nouveau! Un bandeau de temps pour les tops transparents ou dos nus… C’es tout! Et je peux dire que je me sens nettement mieux comme ça! Il m’arrive encore de ressentir un peu de gêne quand je vois que cela se voit beaucoup à travers certains t-shirts. Je n’assume pas encore totalement. Alors qu’il n’y a rien à assumer, au final!
En tout cas merci pour cet article :)
Merci pour ce bel article Victoria et je ne peux que partager et applaudir ce point de vue.
Je n’ai quasiment jamais porté de soutiens-gorges rembourrés car je n’ai pas envie de « changer » la taille de ma poitrine et car je n’y vois pas vraiment d’intérêt. Certains soutiens-gorge à armatures sont sources d’inconfort pour moi et je préfère de loin les triangles plus légers (et ma poitrine est plutôt menue donc je n’ai pas vraiment de pb de maintien).
Dès que les beaux jours arrivent, le soutien-gorge s’envole et quel bien fou de ne rien porter sous une robe ou un t-shirt (et quelle élégance sous un vêtement échancré de ne pas voir de bretelles dépasser) !
Bonne continuation :)
Hello Victoria :-)
Je te lis depuis pas mal de temps mais il me semble que c’est la première fois (ou peut-être la seconde) que je commente. Probablement parce que ton article est justement en phase avec une décision que j’ai prise récemment : larguer mon soutien-gorge ! Après avoir vu un reportage sur le sujet en 2015, j’ai fait des recherches et j’ai découvert que le port du soutien-gorge est en réalité néfaste pour notre corps et notre santé. Comme j’ai une poitrine très volumineuse et ce depuis ma puberté, le soutien-gorge a toujours été mon ennemi : en acheter a toujours relevé du parcours du combattant, j’avais systématiquement des douleurs dans le dos et j’ai eu beau en porter depuis l’âge de 14 ans, à 20 ans ma poitrine pendait déjà (et pour cause, mettre un soutien-gorge dès que nos seins apparaissent est une aberration). Du coup, après avoir mûri ma décision pendant un an et lu de nombreuses choses à ce sujet, le 1 er août j’ai décidé de me libérer du carcan que le port du soutien-gorge a toujours représenté pour moi. Au bout de douze jours à peine, j’éprouve une incroyable sensation de liberté et je vois déjà des bénéfices : je n’ai plus mal au dos, même quand je marche longtemps (et étant piétonne, je marche) et ma poitrine a déjà commencé à se raffermir. Alors certes il faut accepter que sa poitrine gigote lorsqu’on bouge, qu’elle n’ait plus la même forme sous nos vêtements, que les tétons puissent visiblement pointer de temps en temps, et le regard, parfois moqueur ou choqué, des autres (principalement les femmes, j’ai remarqué). J’apprends également à aimer ma poitrine imparfaite, trop grosse et tombante (mais elle va se redresser naturellement petit à petit maintenant que mes muscles travaillent de nouveau par eux-mêmes), moi qui ai toujours détesté mes seins depuis ma puberté. Bref, mesdames, go braless ! :-D
Làsnks
Bonjour VIctoria,
J’aime énormément passe sur ton blog et ton article me fais écho. Jeune je n’ai jamais eu hâte de mattre un soutien gorge. J’en n’ai mis pour vite les abandonner je n’étais pas à l’aise. J’en mettais quand il le fallait haut transparent, cours de sport… J’ai une petite poitrine un 85a. Donc depuis plusieurs année je met dès triangle dans les quels je me sens bien comme une seconde peau et quand je ne pense pas à mettre un soutif ou n’ai tout simplement pas envie d’en mettre un je n’en met pas. En particulier l’hiver je n’en ressens pas le besoin. Parfois je passe plusieurs jours sans mettre de soutien gorge et quand je ressens un gène je remets un triangle. Je ne ressend pas de pression de la société ou m’en moque tout simplement. Depuis toute jeune ce qui compte c’est que je me sente à l’aise et jolie. J’en met un quand j’en n’ai envie et le besoin.
Je pense qu’il ne faut pas se poser de question si tu es bien sans, je ne vois pas l’intérêt d’en mettre un.
Merci Victoria, tes articles sont toujours un plaisir à lire.
Coucou ! J’apporte ma pierre a l’édifice, en m’adressant aux filles avec très peu de poitrine (n’ayant jamais été tres fournie en la matière je ne me permettrais pas de parler pour celles qui dépassent le bonnet B -voire le bonnet A…-). Je voulais juste dire que je n’ai plus porté de soutien-gorge depuis 5 ans maintenant (j’avais 19 ans) simplement parce que je n’en ressentais pas le besoin, ni physiquement (team petits seins donc) ni mentalement (par refus des normes sociales en matière de beauté féminine). Aujourd’hui j’ai perdu 8kg depuis cette période, ma poitrine est passée de petite à TRES petite, mais remettre un soutien-gorge pour lui redonner un peu de matière s’apparenterait à de la torture ! C’est d’un tel confort pour moi… Et bizarrement, sur tout ce laps de temps, je n’ai que très très rarement constaté de remarques, ou regards appuyés, ou réflexions désagréables à ce sujet (et ce n’est pas faute d’avoir croisé des relou dans ma vie). Même mes collègues, pourtant vendeuses en prêt-à-porter, ont mis plusieurs mois à le remarquer (et dieu sait que j’aime les débardeurs en coton tout près du corps) !
Bref, tout ça pour dire, d’un point de vue du regard des autres ce n’est pas un si grand big deal en réalité, donc pour celles qui le souhaite : osez ! Par ailleurs, je n’ai jamais rencontré d’homme qui soit déçu d’avoir affaire à une fille peu voir pas portée sur la lingerie, certains aiment aussi la simplicité, et la sophistication peut passer par tellement d’autres « artifices » (je dis ça sans jugement aucun) :)
Faites comme bon vous semble les filles, les mini poitrines sont belles aussi, ne ressentez pas le besoin de tricher si ça n’est pas le plus confortable pour vous, ne laissez pas un vêtement vous donner des complexes lorsque vous le retirez :)
Pardon j’ai beaucoup parlé de moi, mais merci pour ce bel article Victoria :)
J’ai toujours été de la team sans soutif !
j’ai toujours détesté ça et je me suis souvent sentie oppressée par cet objet.
Ado j’y ai pourtant succombé suite à de nombreuses réflexions d’autres jeunes filles…. Ensuite je suis revenue à 0 soutif ou parfois triangles quand j’ai envie.
Mais malheureusement je vis aux Etats-unis et ici ne pas mettre de soutifs est impensable… Au boulot je mets donc des triangles et je sais que pour la culture locale ce n’est déjà pas assez (notamment le téton qui est ici une obscénité….)…. Je refuse de mettre des trucs rembourrés ou avec des protec de tétons mais je me sens parfois mal à l’aise au vu des regards désobligeants…
Je n’aime pas me soumettre aux diktats de la mode ou de la société mais au boulot aux USA c’est très dur de s’en extirper :(
Quel bel article ♥
Merci pour ce bel article comme pour les commentaires réfléchis et bienveillants qui le complètent.
Il y a 3 ans, j’ai arrêté de porter des soutien-gorges. Avec mon 80 A, je n’en ai pas besoin. Et puis j’ai 2 grains de beauté mal placés qui me font souffrir lorsque j’en porte.
Et au bout de plusieurs mois, mon ex patron m’a expliqué qu’après m’avoir bien observé, il pensait que je ne portais pas de soutien gorge et que cela ne se faisait pas ( non pas parce que quoique ce soit était visible car je travaille dans un monde très corporate où le combo chemise + veste est obligatoire mais juste parce qu’il pensait que cela ne se faisait pas)…
Je suis donc passée aux caracos près du corps ( Petit Bateau ou cousus par moi) . Mais ton article me donne envie de faire un nouvel essai :-)
Bonjour :) C’est vrai que je n’ose pas, sûrement par pudeur mais au fond j’aimerais me passer de ce diktat de temps en temps quand un soutien gorge n’est pas adapté à ma tenue par exemple mais bon, j’ai encore du chemin à parcourir avant « d’oser » … Bonne continuation!
Je suis totalement pour le no bra.
Dès que je le peux, je fais sauter le soutien-gorge !
Certes, certaines situations ou certains vêtements ne le permettent pas toujours.
Je reste admirative d’une amie de 50 ans qui m’a dit il y a quelques années » Bra? I burnt my bra a long time ago! « . J’étais étonnée sur le coup car ce n’est pas encore vraiment dans les moeurs, mais avec le temps j’ai compris ce qu’elle ressentait et je suis depuis restée admirative!
No bra powa’ :D
Je suis totalement d’accord avec toi, free the nipple! Dès que j’en ai l’occasion je me passe de soutien-gorge, ou je mets une brassière hyper confortable qui n’a absolument pas le même effet qu’un soutien-gorge. Depuis que je suis en Colombie c’est vrai que c’est plus facile de ne rien porter en dessous car le style des filles est moins conservateur qu’en Europe par exemple. Et ca fait un bien fou!
Coucou Victoria!
Super article comme toujours. Moi aussi j adorerais vivre sans soutif mais je ne le ferai jamais je pense. Depuis mes 18 ans je fais un 85 D. En plus j ai toujours eu mal aux seins et j ai du mal à supporter la sensation qu ils m arrivent jusqu’au nombril… J ai 29 ans et déjà un enfant. Ça s est empiré car je fais un 90D maintenant.
Bref, je rêverais de faire un bonnet B voire C et de pouvoir me balader librement en me sentant à l aise.
Bisou!
La robe est superbe ! Belle journée Victoria
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