Derrière ce titre racoleur se cache une authentique réalité: depuis environ un à deux ans, mon anxiété chronique a pratiquement disparu. Mon humeur s’est largement stabilisée, et je ne souffre même plus de déprime saisonnière, moi qui étais si sensible auparavant au manque de lumière !
Il ne s’agit pas d’un miracle, mais bien d’un changement global de paradigme: après des années à essayer vainement de gérer mon inquiétude constante, j’ai adopté une nouvelle hygiène de vie – grâce au sport, mais pas que ! – et cela a tout changé.
Parce que mon expérience est, je crois, transposable à nombre d’autres cas, j’ai eu envie de vous en parler plus en détails aujourd’hui, avec l’espoir de permettre à quelques personnes parmi vous d’avancer aussi vers un mieux.
MON EXPÉRIENCE DE L’ANXIÉTÉ
J’ai commencé à souffrir de stress à partir de l’adolescence. Dans ma famille, beaucoup de personnes sont d’un naturel nerveux et angoissé, alors je crois qu’il y a une forte composante génétique là dedans !
L’anxiété est arrivée plus particulièrement entre mes 25 et 30 ans, avec deux composantes principales: l’une liée au travail, et l’autre sociale.
La première s’est développée dans le cadre d’un mauvais équilibre entre ma vie professionnelle et ma vie personnelle, et à cause des défis inhérents à l’auto-entreprenariat. Je travaillais énormément sur mon blog, mon livre et mon compte Instagram, sans jamais m’éloigner plus de quelques heures de mes tâches. Étant seule au volant, et très exigeante envers moi-même, j’ai fini par tomber dans un profond burnout, dont j’ai mis plus d’un an à me remettre. Plusieurs autres petits épisodes d’épuisement s’en sont suivis, au fur et à mesure de mon apprentissage. Cet état m’a amené à ressentir beaucoup d’anxiété vis à vis de mes tâches à accomplir de façon générale: dès le réveil, tous les matins, je me sentais prise à la gorge par tout ce que je devais réussir à faire et gérer. Souvent, la panique me bloquait, rendant difficile toute réflexion. Même le week-end ou en vacances, je peinais à me couper de ces pensées.
Mon anxiété sociale est apparue en parallèle avec des symptômes presque tout aussi handicapants: angoissée à l’idée que l’on me remarque, que l’on me regarde, j’en suis arrivée lors de la période la plus intense à avoir peur de sortir de chez moi, et ne plus oser aller nulle part toute seule. Toute occasion quotidienne qui impliquait un contact social avec des inconnus (rendez-vous, téléphone, événements, commerce…) ou un lieu que je ne connaissais pas me mettait dans des états de panique intérieure assez pénibles.
Enfin, j’étais aussi pétrie d’angoisses récurrentes liées notamment à la peur de la mort.
Pour ces différents problèmes, j’ai consulté autour de mes 29-30 ans une psychothérapeute avec laquelle j’ai fait un suivi de neuf mois, qui m’a été très bénéfique ! J’en suis sortie plus légère, plus apaisée.
Une forme d’anxiété chronique est néanmoins restée en moi de façon plus « sourde »: en plus d’être sujette au stress, je vivais constamment avec un sentiment de catastrophe imminente. Tout était sujet à une inquiétude latente. Je me réveillais la gorge serrée dès le matin, et beaucoup de tâches de la vie courante me semblaient difficiles à affronter: je peinais à prendre mes rendez-vous, à ouvrir mes messages et y répondre, à gérer mes tâches… tant cette panique intérieure me paralysait. Chaque petit hic devenait une montagne, et je perdais vite pied – même si je faisais bien sûr mon maximum pour mener ma vie de front aussi correctement que possible malgré tout. Le courage que cela me demandait au quotidien était épuisant !
Pour gérer ces bouffées d’émotions négatives, j’ai été familiarisée très jeune avec plusieurs techniques classiques d’apaisement (respiration, méditation, visualisation…). Plus tard, j’ai commencé le yoga sous recommandation de divers professionnels de santé. Il y a quelques années, enfin, j’ai ajouté le CBD à mon arc – un complément très précieux car ultra efficace sur moi pour couper l’effet panique. Toutefois, ces solutions restaient de l’ordre du pansement: elles n’amélioraient pas le problème de fond, me permettant simplement de mieux en gérer les manifestations.
LE SPORT, MA RÉVOLUTION
Il a fallu finalement attendre 2022 et la naissance de mon intérêt pour le mouvement (notamment via cet excellent ouvrage de divulgation, ou celui-ci !) pour qu’enfin, je redécouvre la possibilité d’une existence sans panique latente constante. Comme si, au lieu de m’obstiner à apaiser mon esprit, je devais avant tout me reconnecter à mon corps – une idée que je trouve assez intéressante !
Je l’évoquais déjà dans ce bilan de ma première année de running: l’adoption d’une routine sportive régulière a véritablement marqué un avant et un après dans ma santé mentale. C’est aujourd’hui ma « béquille » principale et un facteur absolument indispensable à mon bien-être: le sport m’aide non seulement à évacuer mes émotions négatives au travers de l’effort physique, mais aussi à maintenir un moral plus stable et niveler mon émotivité.
Ce n’est d’ailleurs pas étonnant, au vu de tout ce que la recherche a pu constater sur les bénéfices de l’activité physique pour la santé mentale: source d’estime et de connaissance de soi, régulateur naturel d’humeur, le sport est aujourd’hui prescrit en traitement de première intention pour les cas d’anxiété ou de dépression légère à modérée. Cela peut prêter à sourire, mais je suis moi-même témoin de son efficacité redoutable !
Si la marche et le yoga faisaient déjà partie de mes habitudes, j’ai réalisé en commençant à courir qu’il manquait cet aspect plus intensif à mon quotidien: je ne me donnais jamais l’occasion de me défouler, de « brûler » mon stress. Mes stratégies reposaient plutôt sur la recherche de calme, alors que j’avais aussi besoin de canaliser tout mon surplus de tensions dans des activités plus cardio, ou du moins plus éprouvantes ! C’est cet élément qui a tout changé, et qui a rapidement éteint le feu de mon anxiété chronique: je ne me lève plus avec cette sensation de panique intérieure sans raison.
Aujourd’hui, ma routine hebdomadaire (qui comprend trois sorties running de différentes intensités, une séance de renforcement musculaire d’une heure, un peu de yoga doux et de la marche tous les jours) me permet de maintenir mon anxiété à un niveau inexistant quand tout va bien, et à un seuil beaucoup plus bas qu’avant en périodes plus compliquées. Dans ce second cas de figure, l’anxiété est d’ailleurs plus limitée d’une certaine façon – cantonnée aux éléments perturbateurs qui la provoquent, sans contaminer d’autres sphères – et je me sens plus à même de la surmonter.
La différence est notable en revanche lorsque, pour une raison ou une autre, je bouge moins pendant une période donnée: ma nervosité augmente nettement. C’est pour cela que j’essaie au maximum de m’y tenir, peu importe la météo ou mon emploi du temps. Heureusement, en cas de stress accumulé malgré tout, il me suffit de sortir courir ne serait-ce que 20 minutes pour retrouver une certaine paix intérieure !
MES HABITUDES COMPLÉMENTAIRES
Si le sport combat parfaitement mon anxiété chronique, il est inévitable que de temps à autre, mon équilibre mental soit fragilisé par des tracas ou des appréhensions ponctuelles que même une séance défouloir ne peut me faire relativiser.
Là aussi néanmoins, j’ai réussi à identifier avec les années ce qui m’aidait à ne pas laisser la casserole de mes émotions déborder. Plus que les techniques d’apaisement classiques, ce sont plutôt mes nouvelles habitudes de vie qui ont vraiment fait une différence, parce qu’elles sont à la fois le signe et le moteur d’un changement plus profond.
☞ Extérioriser au maximum. Mettre des mots sur ce qui me stresse (par écrit ou en parlant avec une personne de confiance) avant que le ressenti ne prenne trop d’ampleur m’aide énormément à évacuer le surplus d’émotion – comme une cocotte minute dont on laisserait s’échapper un peu de vapeur ! C’est aussi un moyen pour moi d’éclaircir mes idées, de prendre du recul sur mon problème, et bien sûr de pouvoir recevoir de l’assistance. Expliquer ce à quoi je pense et ce que je ressens équivaut presque à une séance de brainstorming, dont je ressors plus à même de faire face à mon angoisse et la solutionner. Pour quelqu’un qui avais l’habitude de tout garder pour moi, cet entraînement à m’ouvrir davantage est très salutaire. Je pratique cette extériorisation au quotidien avec mon compagnon, et dans une moindre mesure, mon entourage proche – mais j’ai aussi beaucoup apprécié, dans le passé, pouvoir le faire au cours de mes séances de psychothérapie lorsque j’avais besoin d’une aide plus professionnelle.
☞ Savoir dire non. Pour limiter mon anxiété dans la vie courante, j’ai appris avec le temps que je devais absolument connaître mes limites et respecter ma petite voix intérieure, surtout quand je suis dans une période plus vulnérable. Étant de nature à toujours vouloir faire plaisir, je frôle facilement l’épuisement émotionnel à force de donner mon temps et mon attention en excès, ou de me forcer à faire des choses qui ne correspondent pas à mon envie du moment – et cela peut être une grande source de conflit intérieur, donc de stress. Sans jamais me priver d’être une bonne amie (ou fille, soeur…) lorsque j’en ai l’énergie, je fais toutefois plus attention à m’écouter pour savoir dire non lorsque cela s’avère nécessaire, et cela a beaucoup allégé mon quotidien ! La peur de décevoir est difficile à affronter au départ, mais avec un peu d’expérience, je suis persuadée que ces limites bénéficient à toutes les relations (non toxiques) de notre vie, permettant des moments de partage plus authentiques.
☞ Soigner mon hygiène de vie. Je crois que cet aspect, typiquement négligé quand on est plus jeune, acquiert de plus en plus de valeur lorsque l’on mûrit – sans doute parce que l’âge ne pardonne plus ! J’ai pour ma part remarqué une vraie différence dans mon état émotionnel lorsque je ne mange pas correctement (trop de sucre, trop de gras, trop d’aliments transformés, alcool…), et surtout, surtout, lorsque je ne dors pas assez. Combien de fois ne me suis-je pas alarmée en me trouvant déprimée, prompte à pleurer pour rien, anxieuse, pour finalement voir tous ces symptômes disparaître après une bonne nuit de repos ? Depuis quelques mois, c’est devenu non-négociable pour moi: je me couche au maximum à 23h (et si possible avant) pour mon réveil à 7h30 en semaine – et j’essaie de ne pas décaler ces horaires de plus d’une heure le week-end pour conserver un rythme stable. Enfin, je veille à éviter les carences en vitamine D en hiver en m’exposant longuement à la lumière du jour tous les jours, et en me supplémentant; de même, je fais des cures de magnésium régulièrement.
Enfin, bien que je n’en ai presque plus besoin, je conserve toujours à la maison quelques gummies ou huile au CBD pour m’aider en cas d’épisode particulièrement stressant !
CONCLUSION
Bien que la nervosité et l’inquiétude fassent partie de ma nature profonde, je sens aujourd’hui que je touche du doigt les clés pour vivre de façon un peu plus apaisée, et ne plus me laisser envahir par l’anxiété constante qui m’a longtemps accompagnée au quotidien.
La solution du sport, qui paraît si basique qu’on peine à y croire, a véritablement changé ma vie sur cet aspect (tout autant qu’elle a changé mon ressenti physique), et je brûle d’envie d’inciter un maximum de personnes à s’y essayer tant elle me paraît saine, accessible et efficace. Bien sûr, la course à pieds n’est pas la seule option possible: j’imagine que les cours collectifs, les sports d’équipe, le tennis, la boxe, le crossfit ou la natation, par exemple, peuvent procurer les mêmes effets apaisants. Le plus important est de choisir ce qui nous correspond le mieux !
En parallèle, le travail que je fais sur moi-même pour déconstruire mes schémas relationnels, respecter mon intuition et honorer davantage mes émotions me semble tout aussi important pour simplifier ma vie et m’éviter nombre de situations inconfortables pourtant dispensables. C’est un long chemin, qui demande du courage, mais il en vaut mille fois la peine.
D’une certaine façon, j’ai la sensation que les deux aspects sont liés – sport et développement personnel, apprentissage physique et apprentissage émotionnel. Chair et coeur, nous sommes un tout !
J’espère de tout coeur que cet article vous aura rassuré.e, apaisé.e ou motivé.e si vous en aviez besoin.
Courage à tou.tes les anxieux.ses !
33 commentaires
Merci beaucoup pour ton partage, je suis moi même dans ce processus. J’essaye de voir tout ce qui peut influencer mon anxiété et mon bien-être notamment à travers l’activité physique, le sommeil et l’alimentation.
Pour l’activité physique, je viens d’apprendre dans une formation qu’il faut faire attention à ne pas faire trop d’entraînements à haute intensité lorsqu’on a une dérégulation du système nerveux, cela serait contre-productif (même si cela paraît contre-intuitif en raison du besoin de se défouler).
Merci Fanny pour ton retour et ces précisions ! Tu as tout à fait raison de le souligner, d’ailleurs il faut dire que l’excès d’entraînement ou l’excès d’intensité est néfaste même pour la santé physique. Et il faut toujours préserver des jours de repos :)
Big up !!!
Tu vas éclairées fort dans les nuits noir. Je me suis vue dans ton partage (comme beaucoup)
Mes 12ans, mes 23 et dernièrement… Merci pour les tips qui mange pas de pains !
J’ai pas encore »Burn &out »mais sa va arrivé une femme ma dit sa juste en me regardant.. alors Pif je tombe au bon endroit au bon moment. Belle enchaînement des dées chaînes en mots.
Je suis tombé ici par hasard.
Merci à vous, vive le hasard. Et tout!
Bizh
Très chouette article. Je l’ai trouvé rassurant et il m’a donné un coup de motivation nécessaire pour reprendre mon hygiène de vie en main.
Dans mon cas, ces conseils me serviraient à soigner mon anxiété également mais aussi mes nombreuses douleurs et tensions musculaires.
J’ai bientôt 38 ans et j’ai repris des études en 2021. J’arrive sur la fin (enfin) et c’est un soulagement car elles ont été très éprouvantes pour moi, aussi bien mentalement que physiquement. Il est temps de prendre soin de ma santé !
Merci Victoria, pour ce partage d’expérience à coeur ouvert. Nous qui te suivons depuis de longues années avons aussi pu constater ce changement, avec l’arrivée du sport dans ta vie et, (j’en ai personnellement l’impression) l’adoption de Luna et Lenka. Je suis personnellement encore sous traitement anti-dépresseur mais ne perd pas espoir de pouvoir trouver des solutions naturelles ailleurs, ton article m’y incite en tout cas.
Merci Mathilde pour ton si gentil commentaire ! C’est vrai que l’adoption de mes deux louloutes a apporté un vent nouveau dans ma vie, une mission dont j’avais sans doute besoin :) Je te souhaite tout le meilleur !
Après 2 ans et demi de soucis de santé assez intenses, j’arrive tout doucement à me remettre au sport. J’ai hâte de pouvoir faire des sessions plus cardio car la sensation de faire sortir les tensions me manque.
Il y a peu j’ai posé des mots sur ce qui m’aide au quotidien. J’ai finalement constaté a peu près les mêmes choses que toi, l’importance du sommeil notamment.
Même si je n’ai pas encore trouvé mon équilibre car mon corps a besoin de temps pour se réparer apres ces mois compliqués, j’entrevois du mieux, petit à petit.
Encore pour le partage <3
Bravo Marion pour tout ce que tu as traversé, et tout ce que tu essaies de mettre en place désormais pour aller mieux ! Je suis complètement d’accord avec toi pour le sommeil, c’est tellement important – je dirais même que le repos qualitatif est tout aussi important que le mouvement en fait, je crois qu’on ne peut pas se contenter de l’un ou de l’autre. Je te souhaite en tous cas d’évoluer à ton rythme vers un mieux, et de pouvoir enfin profiter d’une santé plus solide. Tu m’as l’air sur la bonne voie en tous cas et je t’envoie plein de bonnes ondes ! ♡
Bonjour Victoria
Je te suis depuis bien bien longtemps : merci pour ton travail ! Tes contenus sont très inspirants et tes recommandations toujours super.
Je te suis maintenant plus souvent sur Instagram que sur le blog mais j’aimerais quitter Meta complètement (j’ai déjà quitté FB).
Pour autant je ne veux pas te retirer le revenu que tu réussis à tirer via ce média.
Comment faire?
Si tu as une idée, je suis preneuse !
Je te souhaite une très belle année
Aurélie
Merci Aurélie pour ton adorable message ! C’est une très bonne question, et j’y réfléchis aussi beaucoup depuis quelques temps. Je crois que l’alternative serait de proposer mes contenus en parallèle sur une plateforme différente en échange d’une petite contrepartie (2-3 euros par mois par exemple) mais psychologiquement c’est un cap difficile à passer pour moi ! (Non pas parce que je préfère Instagram, mais parce que je trouve très difficile de demander une participation à mes abonnées…). Affaire à suivre !
Merci pour ton partage. C’est très inspirant car je partage avec toi cette fameuse anxiété depuis plus de 20 ans. Aujourd’hui je sais que je n’ai pas d’autre choix que de l’apaiser car c’est devenu invivable au quotidien.
Je te remercie pour tes mots qui sont un peu un phare dans la nuit.
Merci Marie, je te souhaite plein plein de courage et surtout de trouver un meilleur équilibre cette année ♡
Merci pour ton partage, ça fait 40 ans que j’essaie de dompter mes angoisses. Depuis des années je cours plusieurs fois par semaine et dés que je ne peux pas courir pendant quelques semaines je me sens mal.
Ma fille glisse régulièrement dans mes affaires des livres qui peuvent m’aider et elle est douée, ces lectures m’aident beaucoup. Le dernière c’est « Je pense trop » de Christel Petitcollin » si vous avez l’occasion, on se sent moins seule après cette lecture.
Oh merci Evelyne, rien que le titre me parle énormément ! Je vais essayer de le trouver !
Merci Victoria pour ton article 🩷 Je te suis depuis longtemps et je suis surprise de lire que tu as vécu tout ça. Ça me rend triste pour toi, car moi aussi je sais ce qu’est l’anxiété, mais heureuse aussi car tu as fait plein de choses pour aller mieux, c’est inspirant !
J’ai longtemps fait plein de choses (changement d’alimentation, thérapie, compléments..) mais sans reprendre le sport, et ce n’est qu’en reprenant la course à pied que j’ai senti que c’était ça, le vrai exutoire: le mouvement, et en plein air c’est encore mieux :). Je le savais mais j’avais besoin d’une piqûre de rappel.
Je te remercie et je te souhaite de continuer à te sentir aussi bien 🩷🙂
Merci pour ton adorable message Céline, et c’est fou comme nos trajectoires se ressemblent ! Tu as tout dit. Ça change la vie ! Très bonne continuation à toi aussi, je crois qu’on tient le bon bout ♡
Très intéressant merci beaucoup pour ce témoignage !
Merci Hélène pour ton gentil retour !
Merci de partager ton expérience ! Je reste persuadée que dans la vie, pour trouver son équilibre mental, il est nécessaire : de pratiquer une activité physique, une activité intellectuelle et d’avoir une passion. Couplé à cela une bonne hygiène de vie (sommeil, alimentation, soin), c’est déjà grandiose !!
Je te rejoins tellement pour le sport, j’ai un peu mis entre parenthèses la course à pied mais je monte à cheval, tous les jours. C’est ma passion, ma joie et ma soupape de sécurité ! Il y a deux ans, j’ai frôlé le burn out car je n’avais pas ma jument avec moi (tout va bien, elle était juste dans un élevage pour faire un petit poulain); très étrange pour moi car je n’avais jamais connu cette sensation. Maintenant, je le sais d’autant plus, je ne peux pas vivre sans les chevaux !
J’adore ta théorie Camille, je crois que tu as tout à fait raison ! Il faut que le corps bouge, que le coeur s’anime, et que le cerveau soit stimulé, en somme – en plus d’une bonne hygiène de vie, qui est la base de tout. On ne peut pas faire sans l’un ou sans l’autre. Comme c’est beau cette passion que tu as trouvée avec l’équitation ! Moi qui adore les animaux, j’imagine un peu et je te comprends complètement :)
Bonjour Victoria
Merci pour cet article qui j’espère pourra inspirer. Ton vécu me parle beaucoup car j’ai vécu des choses très identique anxiété chronique, burn out…
Je me sens réellement mieux depuis 18mois et cela correspond au moment où j’ai vraiment inscrit le sport de manière plus présente dans ma vie.
En arrêt forcé depuis quelques semaines à cause
d’une entorse (non faite au sport) je sens la différence et j’ai hâte de reprendre
Par contre pour aller vers le sport il a fallut pour ma part deconstruire l’image du « je suis nulle en sport ce n’est pas fait pour moi » en faite je ne suis pas nulle en sport il fallait juste trouver mes sports et avoir le bon accompagnement. Pour moi c’est la natation, le ÿoga et depuis peu la course à pied. Même si pour la course je travaille encore sur le faite je peux en faire je ne suis pas nulle et je peux aller à mon rythme.
Comme je te comprends Alexiane ! Ça a été un véritable blocage pour moi aussi pendant très longtemps (33 ans, à vrai dire !). Je trouve tellement dommage qu’on associe tant le sport à l’idée de performance (qui exclut totalement les personnes qui ne sont pas des athlètes nés, ou qui manquent de confiance en elles), alors que cela devrait avant tout être vu comme une occasion de se faire du bien, peu importe son « niveau » ! Comme toi, il a fallu que je change de regard sur le mouvement pour enfin m’y intéresser et dépasser ce fardeau mental de la nullité.
Bonjour Victoria,
J’ai beaucoup ton article et je m’y retrouve beaucoup aussi. Depression et anxiété chroniques ont beaucoup joué dans la vie ces 15 dernières années. Et si je reconnais une part génétique aussi, j’essaie à fond de reprendre le control avec la thérapie et les méthodes somatiques. J’en suis arrivée à la même conclusion que toi pour le yoga, il me faut autre chose aussi.
Un grand merci pour ce partage à cœur ouvert. J’apprécie énormément ta conclusion.
Merci Claire pour ton adorable retour ! C’est bête mais c’est rassurant pour moi de voir que je ne suis pas la seule à avoir besoin de plus que le yoga – même si c’est par ailleurs une activité que j’adore. Je te souhaite une belle continuation, aussi apaisée que possible !
Merci pour cet article, j’en suis arrivée aux mêmes conclusions que toi. Le sport est devenu indispensable pour ma santé mentale ☺️
Merci Mathilde pour ton retour ! C’est fou quand même, la différence que le sport peut faire sur des gens comme nous ♡
Merci Victoria, je pense que tu apportes à chaque fois beaucoup aux personnes qui te suivent via ton partage d’expérience.
Je pense souffrir d’une « légère » anxiété, même si au quotidien je ne mets pas ce moment dessus.
Ce sont des périodes en tout cas où j’ai l’impression que rien ne va, l’envie de tout laisser tomber ou envoyer balader, l’envie de me retirer dans ma grotte… Cela sera toujours là d’une façon ou d’une autre, mais je suis moi aussi persuadée que les solutions que tu énumèrent permettent un mieux-être malgré tout.
Je suis allée voir une diététicienne début octobre et depuis, non seulement j’ai perdu du poids (alors que je pensais presque ne plus le pouvoir, à désormais 44 ans!) et plus que je ne pensais, mais grâce à elle j’ai repris une activité physique quasi quotidienne.
Et c’est en effet fou comme ça manque quand on doit louper sa séance.
Par contre Yoga ce n’est pas pour moi, je préfère de loin le Pilates.
Et j’ai beaucoup de mal avec la course à pieds, même si j’ai essayé de partir petit. Ca ne décolle pas vraiment. Alors j’en reste à ma marche plus ou moins rapide (à savoir si je suis seule ou pas) et ça me va bien.
Coucou Anne-France,
Merci de tout coeur pour ton retour ! BRAVO pour ton cheminement récent par rapport à l’alimentation et à l’activité physique, je n’imagine que trop bien à quel point cela peut améliorer ton bien-être !
Et je comprends complètement ta préférence pour le Pilates, car c’est une activité que j’ai pratiquée il y a quelques années et qui n’a eu de cesse de me manquer depuis: j’en ressortais toujours hyper détendue, et la différence sur mes maux de dos avait été quasi immédiate ! Le côté plus spirituel du yoga me correspond un peu moins, mais pour différentes raisons c’était plus accessible pour moi ici à Amsterdam – et j’apprécie malgré tout plusieurs aspects de cette discipline, comme la bienveillance et la connaissance de soi.
Je te souhaite de continuer sur cette lancée en tous cas, et de te sentir bien pour très très longtemps ♡
Merci pour ton retour Victoria et bonne continuation sur ta propre voie ;-) :-)
A très vite!!
Derrière ce titre accrocheur se cache une réalité bien tangible : mon anxiété chronique a pratiquement disparu. Depuis un à deux ans, mon humeur est beaucoup plus stable, et même la déprime saisonnière, qui me frappait chaque hiver, ne semble plus avoir d’emprise sur moi.
Il ne s’agit pas d’un miracle, mais d’un véritable changement de paradigme. Après des années à tenter en vain de gérer mon inquiétude constante, j’ai adopté une nouvelle hygiène de vie qui a transformé mon quotidien.
🌿 Mais au-delà du sport et d’un mode de vie plus sain, j’ai découvert une méthode qui a fait toute la différence : la DTMA.
👉 Sur celinemarcot.fr, vous pouvez en apprendre plus sur cette approche douce et efficace.
Chaque séance de DTMA (Désensibilisation des Traumatismes par les Mouvements Alternatifs) est une expérience unique et personnalisée, adaptée à vos besoins :
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Aujourd’hui, je ne ressens plus cette oppression permanente qui me pesait autrefois. Si vous aussi, vous souhaitez avancer vers un mieux-être profond, je vous encourage à explorer cette méthode. Parce que le changement est possible, et que vous méritez de retrouver la sérénité. 💙
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C’est un peu gonflé de venir faire votre pub de cette façon. Surtout en reprenant en introduction mot pour mot l’article et en le réappropriant pour mettre en avant votre discipline.
C’est le retour du blog ? Quelle bonne nouvelle ! Un grand merci pour ce partage d’expérience. Tu m’as inspirée à aller courir et j’espère ressentir les mêmes bienfaits dans quelques mois. Bonne journée!
Merci pour cet article qui me parle particulièrement, étant de nature très (trop) anxieuse depuis de nombreuses années. Je prends très bonne note de tous ces précieux conseils et ne manquerai pas de revenir dans quelque temps pour faire un petit bilan de ces méthodes. J’en profite également pour partager quelques autres conseils qui pourraient, j’en suis sûre, intéresser les lectrices de cet article et peut-être même son autrice. Voici le premier https://wellness.doktorabc.com/fr/pour-lui/stop-au-burnout-5-strategies-efficaces-pour-retrouver-lenergie/ et le second https://www.ameli.fr/assure/sante/themes/troubles-anxieux-anxiete/traitement En vous souhaitant une bonne lecture !